Le Philosophe de la Mer

Prologue

" En fin de compte, le retour s'avère être comme ceux des autres. On le croit si réconfortant au départ. On pense aux milles choses qui n'attendent que nous; notre confort et notre amour. On attends, on espère, et on sait cela proche. Pourtant, les heures passent vite et l'on se rend compte à quel point il nous languit de repartir. Fût-ce pour affronter les mêmes avaries et les mêmes dangers.
Fût-ce pour encore une fois vouloir rentrer. Mais au moins vivre; revivre. Reconnaître tous ces visages et ces mains que l'on a croisé. Toutes ces cultures, et par delà ces arts, ces planètes étranges et merveilleuses. Ces bijoux dans la galaxie.
Pour retrouver le même compagnon de route. Pour aimer encore lui raconter tant d'histoires, lui chanter tant de poèmes. Et l'aimer comme un ami.
Je pense qu'il ne faudra pas longtemps avant que je reparte. Ma vie n'est pas seulement ici; elle est partout où je peux aller. Elle se déroulera ainsi, jusqu'à ce que je meurs, que je finisse en poussière, oublié même des miens si cela est le prix à payer.
...
Je repars; je n'emporte rien d'autre que Raiko."

Extrait des notes de Karlin Yu.

Wow! Rien que le prologue, ca promet!

Oui, c'est très bien écrit, rechercher, sympa...

Tout ce qu'il faut quoi!!

Bravo!!

J'attend le suite avec impatience parceque la franchement rien a dire !

Le reste viendra, le fait est que je suis en plein déménagement. Be patient.

I _ Au Revoir, Belle Tempêtueuse

Ô compagnon, ami, frère de ma planète,
Observe notre Père majestueux et Beau.
Il reçoit en son ventre nos anciens merveilleux
Et les trésors de Kamino.

Observe notre Père majestueux et Beau,
Les anciens le vénéraient si justement;
Et les trésors de Kamino
Scintillent encore dans nos esprits brillants.

Les anciens le vénéraient si justement
Dans la vieille Religion et les Légendes
Scintillent encore dans nos esprits brillants
Comme je t'aime, Kamino.

Kamino, poème du Kaminoan Karlin Yu, traduit en Basic.

La pluie tombait violemment sur les vitres. Cette tempête incessante effrayait la plupart des espèces qui avaient visité Kamino. Les goûtes grosses et froides. Ces larmes joyeuses. Ce spectacle triste d'un océan démonté sous un ciel bas et lourd était d'un réconfort presque chaleureux pour les natifs de la planète.
Et l'Océan qui s'étendait, de bout en bout. Sans bout. L'Océan partout. Violent et Beau, le Père. Un des poèmes de Karlin évoquait l'amour des kaminoans pour cet élément de Beauté. Cet esthétisme si particulier. Plus beau encore que la Terre Mère, il avait sublimé ce Père Océan. Ce seul Roi et, dans tous les sens du terme, le seul maître de la planète. Et Tyrannique, qui plus est. Comme un vrai patriarche, sévère mais juste.

Karlin regardait. La Tempête, le ciel, tout cela. Et la navette sur la passerelle. Il s'intéressa tout particulièrement à la conception de celle-ci. Elle n'avait rien d'exceptionnel pour n'importe quel ingénieur en aérospatial. A vrai dire, c'était même un vieux modèle, très vendu, banal. Une navette. Mais Karlin ne connaît rien sur tout ce qui entoure l'univers d'un tournevis. Les moteurs, le blindage, la résistance aux températures variantes. Toutes ces choses lui apparaissaient aussi compréhensibles que la création de l'Univers. Et puis autant dire qu'il ne s'y était jamais vraiment intéressé d'assez près. Il n'avait lui-même rien d'un manuel avec ses lents mouvements gracieux et ses mains fines et pures. Son ego en tirait deux conclusions contradictoires: il pouvait ainsi se sentir supérieur, élitiste même, puisqu'il ne s'abaissait pas à travailler sur la ferraille pour en faire un vaisseau, non. Il travaillait des cellules grises, lui, il réfléchissait, il étudiait, savait et apprenait. D'un autre côté, son ego, aussi gonflé qu'un nuage sur planète, se sentait frustré de ne rien connaître de ce domaine là. Ainsi que pour le pilotage. L'immonde complication du pilotage, l'affreuse explication qu'on lui avait donné un jour alors qu'il aurait souhaité être encore enfoncé dans son oeuf-sans-lumière, chez lui. Un monde à part.
Ses grands yeux noirs et brillants fixaient un point inexistant, droit devant lui. Il était perdu dans ses pensées. A tenter de comprendre l'Hyperespace, les distances, le temps, et leur si simple relativité. Et plus Karlin fixait son point fictif, plus ses yeux s'agrandissaient. Jusqu'à ce qu'enfin, ses paupières ne battant plus, ses yeux s'irritèrent et versèrent chacun une larme. Cela le détourna de ses pensées.

Après avoir encore admiré l'Océan de ses origines, il replongea dans son ouvrage. Le sien. Karlin Yu le Kaminoan s'était mis en tête de devenir un Homme de Lettres et commençait donc son travail par rédiger un ouvrage sur l'Histoire même de son espèce, et de sa planète. Peu à peu il était devenu une sorte de dépositaire de la population, et désormais il passait son temps dans la bibliothèque. Cette vaste pièce, plus sombre que les autres. Pourtant, elle n'en était pas moins belle; l'Art kaminoan s'y exerçait de manière sublime. De grandes vitres d'un côté de la pièce donnaient sur l'Océan, et l'on pouvait apercevoir la passerelle des navettes sur la gauche. En tordant un peu son long cou, Karlin y arrivait bien. La bibliothèque tenait ainsi sur deux étages dans une même pièce. Côté fenêtre, on était au rez-de-chaussée, et un escalier amenait aux autres tables de l'étage supérieur, de l'autre côté de la pièce. De grands meubles noirs, arrondis de partout, contenaient divers objets, cartes, livres, et bases de données. Tous genres. Tous récits, toutes images. Ce capharnaüm avait quelque chose de délicieusement organisé.
L'architecture de Kamino laisse place à beaucoup de lumière provenant des parois pour jouer sur les ultra-violets; la lumière du jour étant peu dispensée sur la planète. Mais dans cette pièce-ci, on avait gardé un aspect sombre, les seules lumières étant, en tout et pour tout, les grandes colonnes d'un bleu pâle et peu lumineux qui entouraient les étagères. Il y avait aussi de petites lampes, près de chaque table ou siège-oeuf. Le tout offrait un sentiment de repos et de sérénité que les Kaminoans alliaient au plaisir de la lecture.

"Il n'y a que les voyages lointains qui auront sorti notre Erudit de sa bibliothèque."
Lama Su s'exprimait d'une voix un peu pédante, condescendante presque. Le genre de manières qui sied aux personnes de sa condition. Lama Su était un kaminoan aux teintes sombres. Un mâle. Avec un aileron sur le crâne, comme tous ceux de sa gent. Karlin ne savait rien de très intéressant de Lama Su. Mis à part qu'il était l'Héritier d'une branche noble de Kamino, qu'il était riche, influent, respecté. Apprécié aussi. Et puis c'était son ami. Lama Su et Karlin Yu avait presque baigné dans les mêmes aquariums, si l'on peut dire. Puis dans les mêmes éruditions pour prendre des chemins différents, mais se croisant sans cesse. Ainsi le premier s'était vu ouvrir la voie de la politique, des grandes affaires commerciales, des gestions sociales... Le second s'était d'avantage attelé au savoir de l'Histoire, des sciences Naturalistes et Sociales, et surtout à la Philosophie. C'est sur ce dernier point que les deux kaminoans se rejoignaient et se frittaient. Cloner n'est pas une mince affaire, autant dans les mains des scientifiques que des penseurs. Il y avait des conflits, des étincelles, du scribouillage à gauche, à droite. On en avait écrit des idées sur la question. Le fait est que cloner pour Kamino s'avérait nécessaire. Cloner pour les autres ne méritait que les louanges des monnaies sonnantes et trébuchantes. Question éthique, c'était zéro. Une large majorité sur Kamino voyait le profit que la planète pouvait tirer de ses capacités à cloner. Une minorité, qui n'avait rien d'autre à faire et composée essentiellement de gens que l'on invitait pas aux réceptions avec petits fours de la Majorité, était contre. Résolument contre, et sans nuances. Les clones n'étaient rien de plus que des armes organiques, intelligentes. Des armées vendues au plus offrant. Kamino, vendeuse d'armes. L'image du beau Père Océan se teintait d'une couleur désagréable. D'un flou malsain, d'un parfum de banquiers et d'injustices des plus immonde.

Karlin se lève. Gracieusement, toujours. Il gravit les quelques marches qui le séparent de son ami. L'accolade est pleine d'affection; le départ prochain les rends un peu amer. Karlin se fait réprimander un peu pour ne pas être encore prêt, et traîner dans cette sombre bibliothèque alors que l'on s'affaire de partout pour son voyage. Il remarque sur le vêtement gris sombre de son ami, une épingle, nouvellement placée. Lorsqu'il relève la tête, ses yeux posent la question et la réponse intervient aussitôt:
" C'est moi qu'ils ont nommé".
Le ton est enjoué, fier, heureux presque. La petite teinte d'émotion du départ, on s'en fiche, là, on se gonfle l'ego. Karlin félicite le nouveau ministre de Kamino. Voici encore un échelon d'atteints dans l'ascension du personnage. Lama Su vise plus haut, il le sait. A vrai dire, ils sont désormais au même grade, si l'on peut dire. L'un est en charge du clonage sur Kamino; l'autre le grand esprit de la planète. A présent leurs chemins se séparent; à présent ils savent qu'une longue période, une longue distance, et une longue probabilité les tiendra à éloignés.

Puis ils cheminent lentement, avec leur grâce particulière, vers la passerelle. Karlin emmène des livres, fragiles reliques, dont le parfum l'enivre encore; ainsi que des aliments propres à sa planète. Question de goût. En chemin, on parle de tout et de rien. On évite surtout de parler de l'avenir du Naturaliste, de son voyage. Cela effraie et impressionne. Cela chagrine aussi un peu; alors on s'attarde sur Lama Su. Lama Su, que le Conseil des Ministres de Kamino vient de nommer en son sein.
" A ce propos justement, il fallait que je t'informe." Son ton est soucieux.
- A peine vient-on de me nommer que déjà je vais recevoir un ambassadeur intéressé par nos techniques de clonages. Chose encore plus étrange, il me semble qu'il s'agit un Jedi."
La chose étonne. Karlin connaît depuis longtemps l'existence des Jedi; et il sait aussi qu'un Kaminoan fut, dans des temps qui se perdent au loin, un jedi réputé sur la planète. Mais il y a bien longtemps que ces personnages là n'avaient été évoqués à Kamino. Trop peu nombreux, trop étranges, isolés. Un peu comme la planète même. Au fond, peut être était-ce cela qui attirait le Jedi? L'Ermitage.
Lama Su bouillait d'excitation. C'était autant de bonheur pour lui; Karlin ne s'en préoccupait pas. Il avait assez à organiser un voyage lointain, périlleux, indéterminé, incertain. Un voyage. L'Hyperespace et tous ces mots qui font joli quand on n'y connaît rien de plus que la reproduction d'un aiwhas. Mais les pensées de Karlin sont stoppées nettes par les réprimandes du pilote qui accoure dans leur direction

On se presse, on se presse. Derniers adieux, un rien émouvants.
Et sous la pluie toujours battante, Karlin traverse la piste et la passerelle. Dans la Navette déjà, il fait froid. Pour un kaminoan, cela n'est pas dérangeant; pour un froussard si.
Moteurs. Volets. Moteurs encore, un bruit sourd; et déjà la navette s'envole dans le ciel bas et lourd de Kamino l'Eternelle Déchaînée.

C'est bon, trés interréssant sur certains points, et ça change !!! Bravo !!!!!!!

Oué sa change ! franchement tu as du talent !

J'avoue que ce n'est pas mal du tout. Peu de personnes sont capables d'écrire comme ça.

Ton niveau de langue est impréssionnat, je ne te le répeterais jamais assez Bravo c'est fantastique!

La suite la suite la suite !

Comme tu as du le lire il est en train de déménager alors ce genre de remarque ne sert a rien.

Je sais qu'il est en déménagement mais sa Fan fic est tellement super qu je suis impatient d'avoir la suite

Je fais un passage éclair. Les évènements de ma petite vie font que je n'ai pas beaucoup de temps à m'attabler à ce projet, qui s'annonce de plus en plus lourd au fur et à mesure des idées.
Ceci dit, je ne vous oublie pas et je tente de griffoner dès que j'ai un peu de temps.

Merci Julien, nous attendrons que l'inspiration vienne.

Oui...mais surtout continues

may the force be with you

On attend la suite. Bosse bien

Ca va arriver :hihi:

C'est galère. Et en ce moment j'ai tellement chaud que je ne sais pas quand travailler correctement sans vite en avoir marre ^^

II _ La Forêt sacrée des Ithoriens

"C'était un grand humain. Et, très beau, pour son espèce. Ses cheveux courts, ses bras longs et ses mains fines. Son visage fin, plein d'une condescendance toute fraîche de sa jeunesse.
D'apparence il avait l'air si calme et si posé, presque comme un sage qui ressasse ses lectures. On aurait pu y croire, si ce n'était dans son regard, ce vent qui soufflait. Cette brise, ou cette tempête. Cette légèreté emportée, et cette fraîcheur volage. L'Inconstance. L'impulsivité, l'Emportement. C'était là que résidait son caractère.
Et c'était cela qui faillit le perdre."

Extrait des notes de Karlin Yu.


" Ne sois pas élitiste, Raiko."
Le ton était dur et froid. Le ton était celui de la réprimande; une fois de plus.

Voici des jours qu'une chaleur étouffante se mêlait à une pluie chaude. C'était une des pires saison de l'année sur Ithor. Jour après jour, la température avait grimpé, pour atteindre une chaleur étouffante et sèche. Il n'y avait aucun vent pour amener cette impression que l'on peut enfin respirer. Sec. L'eau manquait. Et quand l'eau tomba, elle était chaude. L'humidité malsaine s'intronisa alors pour plusieurs semaines. Tout ce qu'il peut y avoir de plus irritant dans une végétation aussi dense se propageait en grand nombre. On ne savait plus sur Ithor s'il convenait alors de mourir noyé ou étouffé. Le paroxysme de la chaleur atteint, celle-ci continua de s'alourdir, car elle n'avait rien à faire de plus intéressant dans l'immédiat. Et enfin, un jour, des nuages plus lourds et plus sombres s'agglutinèrent en une masse presque noire dans le ciel de la planète. Tout soudain, un vent frais balaya le globe dans une course folle et désordonnée.
Et l'Orage éclata.

Et Raiko pesta.
Il descendit de l'arbre massif où il avait réussi à somnoler un instant en sécurité, ramena sa capuche sur son visage trempé, et se dirigea d'un pas rapide vers un massif rocheux. Vers une pente raide, escarpée. Insurmontable. Nul être n'aurait pu la grimper tant elle était haute et abrupte. D'ailleurs, Raiko n'avait pas l'intention de grimper. Il ne leva même pas le nez. Son attention était fixée sur l'entrée d'une grotte douillette au pied de la falaise. Le vent souleva sa capuche, la rabattit. Encore. Encore. Lui arracha presque son manteau, faillit le faire chuter, et lui opposa une résistance farouche en lui arrivant de face. Puis, se retournant, il poussa Raiko dans le dos et l'envoya choir dans la caverne.
Se relevant péniblement, il tenta d'apercevoir à quelle distance précisément se situaient les parois. Un éclair lui offrit un bref instant de lumière pour estimer les dimensions de la caverne, et ainsi constater qu'un être y avait déjà élu domicile. Le genre de créature que l'on ne se risque pas à déranger. Même si on est gonflé de courage et de plein de bonnes choses. Résolument, il fallait quitter l'endroit. Et vite. Raiko retourna sous la pluie battante et l'Orage qui s'amusait déjà de voir son jouet revenu. Dans l'esprit de Raiko, il n'y avait plus qu'une chose de claire: l'Humain ne peut pas vivre sur une planète où le temps est si mauvais. C'est totalement, et scientifiquement inconcevable. Peut être, l'éventualité d'être un Dieu de la pluie pourrait changer le raisonnement... Et encore.

Raiko est beau et triste.
Il y a au fond de lui, toujours, ce sentiment d'éloignement aux choses. De perte de temps, de perte d'envie. De perte. Il se perd. Et quand il cherche quoi, il tombe sur le vide, et repasse. Encore et encore. Le jeune humain sait qu'au fond, il est seul. Il n'est pas fait pour cette vie, pour se retrouver là, pour se consacrer aux autres qu'à lui même. Au travers de cette solitude imposée, il réalise maintenant. Son maître l'a mis là, face à lui-même. C'est un de ces instants ou le sentiment du solitaire est décisif. Il en ressortira changé, soit en bien, soit en mal. Mais il changera, et c'est là le principal. Ne pas laisser se tasser les choses; changer autant que le corps. Changer pour changer. Raiko comprenait alors qu'il devait vivre la transcendance de cette étape, et ressentir les choses sans lui, et avec lui. Envisager le futur en ayant compris le passé. Un étape sans retour.

Adossé contre un arbre, l'adolescent se rappela sa dernière entrevue avec son maître, son sage, ce père. A ce souvenir, il fut partagé entre respect et colère. Il sait que son maître est patient, et sage. Et vieux, et doux. Mais son ego lui interdit d'accepter toute réprimande, et toute contrariété. Et encore une fois, il avait fait une erreur. L'enseignement du jour portait (et il ne s'en était pas douté) sur l'aspect humble et respectable de l'attitude du Jedi face à tout peuple. Les Ithoriens montrent ainsi une grande déférence envers la flore de leur planète. Ses forêts sont sacrées. Et l'on ne peut les habiter, y construire des immeubles, des tours, des masses de métal et de pierres. Lorsqu'on évoqua l'autorisation d'aller dans ces forêts, Raiko répondit qu'un Jedi était au dessus de ces "soucis de douaniers".
" Ne soit pas élitiste, Raiko."
La phrase avait alors tonné et tonna encore dans l'esprit du jeune jedi. Toutes les personnes présentes avaient pu assister à sa réprimande. Que cela était honteux; que cela était dur. Et maintenant, il attendait là, à l'abandon. Il devait être plus calme, et plus à même de se contrôler et de comprendre qu'un Jedi est humble et respectueux. Sa puissance lui vient de la Force. Et la Force est en symbiose avec la Vie. Les Jedi servent la Vie, avec déférence, et respect. Et pour comprendre cela, il lui a été laissé assez de temps sous l'orage et la pluie. Attendre qu'on vienne le chercher.

Il avait cru, tout prétentieux qu'il est, qu'il saurait affronter l'enseignement dur des Jedi et en devenir un. Avec les éloges, le prestige, la puissance, les couleurs et les parfums de ce Monde mystérieux et noble. Au fond de lui, Raiko est un Roi solitaire.

Q'un mot a dire : Bravo ou encore Excellent ! Splendide ... lol

Superbe !! Bravo..

Vraiment bien fait. Félicitation.

Magnifique, vraiment!